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Le vignoble girondin réduit de 8 000 à 12 000ha
La FDSEA Gironde communique:
La campagne d’arrachage, considérée hier comme inaccessible, que nous avons réussi à obtenir de haute lutte, devrait totaliser entre 8 000 et 12 000 ha de réduction de la surface viticole girondine. Le marché viticole départemental s’oriente vers un rétablissement de l’équilibre entre l’offre et la demande. L’interprofession annonce un stock de 19 mois de commercialisation au 31 juillet dernier, réduit à 14 mois au 31 décembre 2023.
Nous notons à la suite de nos derniers échanges une avancée positive. Le négoce bordelais a pris conscience de l’importance pour la viticulture française d’intégrer la loi EGALIM dans sa prochaine mouture. Ainsi, les opérateurs auront la capacité de revoir les contrats passés avec la grande distribution et les coûts de production seront enfin répercutés dans les transactions.
La FNSEA et les JA de la Gironde sont et resteront très vigilants sur les marges pratiquées par les opérateurs et la grande distribution. Il est aujourd’hui urgent d’exiger une juste répartition des marges ! Toute transaction à un prix abusivement bas sera considérée comme indécente, inacceptable et potentiellement attaquable en justice au vu du verdict du tribunal de commerce dans l’affaire dite « Lacombe ».
L’avenir des vins de Bordeaux ne se fera pas sur le dos des producteurs avec des bouteilles à moins de 3€ dans les rayons ! Aussi, toute grande surface ou négoce qui s’aventurerait à pratiquer des prix indignes pour la survie de nos producteurs s’exposera à des actions syndicales de notre part. Le prix d’une bouteille de vin doit se faire sur la base du cout de production et s’imposer au négoce, à la coopération, à l’industrie et à la grande distribution.
Contact : president@fdsea33.fr / 06.09.50.92.47
La campagne d’arrachage, considérée hier comme inaccessible, que nous avons réussi à obtenir de haute lutte, devrait totaliser entre 8 000 et 12 000 ha de réduction de la surface viticole girondine. Le marché viticole départemental s’oriente vers un rétablissement de l’équilibre entre l’offre et la demande. L’interprofession annonce un stock de 19 mois de commercialisation au 31 juillet dernier, réduit à 14 mois au 31 décembre 2023.
Nous notons à la suite de nos derniers échanges une avancée positive. Le négoce bordelais a pris conscience de l’importance pour la viticulture française d’intégrer la loi EGALIM dans sa prochaine mouture. Ainsi, les opérateurs auront la capacité de revoir les contrats passés avec la grande distribution et les coûts de production seront enfin répercutés dans les transactions.
La FNSEA et les JA de la Gironde sont et resteront très vigilants sur les marges pratiquées par les opérateurs et la grande distribution. Il est aujourd’hui urgent d’exiger une juste répartition des marges ! Toute transaction à un prix abusivement bas sera considérée comme indécente, inacceptable et potentiellement attaquable en justice au vu du verdict du tribunal de commerce dans l’affaire dite « Lacombe ».
L’avenir des vins de Bordeaux ne se fera pas sur le dos des producteurs avec des bouteilles à moins de 3€ dans les rayons ! Aussi, toute grande surface ou négoce qui s’aventurerait à pratiquer des prix indignes pour la survie de nos producteurs s’exposera à des actions syndicales de notre part. Le prix d’une bouteille de vin doit se faire sur la base du cout de production et s’imposer au négoce, à la coopération, à l’industrie et à la grande distribution.
Contact : president@fdsea33.fr / 06.09.50.92.47
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