« Ouvrir ou nous faire mourir, il faut choisir » c'est le slogan de la campagne en forme de détresse lancée par le Conseil du Commerce de France qui adresse en même temps une lettre ouverte au Président de la République. Cette instance qui regroupe la plupart des fédérations demande impérativement la réouverture des commerces le 27 novembre. Question de vie ou de mort des entreprises selon ce cri d'alarme.
Pour rendre cette réouverture possible, le CDCF et ses fédérations sont prêts à améliorer encore leurs protocoles sanitaires notamment en réduisant la capacité d’accueil en magasin. Et ce alors même qu’aucun cluster n’a pu être constaté dans les commerces depuis le déconfinement. Le CDCF rappelle en outre l’engagement sans faille des commerçants depuis le premier confinement pour faire respecter les règles, pour faire reculer la pandémie et accompagner les priorités de santé publique.
Le CDCF écrit notamment dans sa lettre à M. Macron:
"Nous ne comprenons pas, nous ne comprenons plus la décision que vous avez prise. En revanche, vous devez comprendre, Monsieur le Président que sans une réouverture des commerces c’est la mort certaine de nos commerçants. Ils ont des stocks considérables pour répondre aux besoins des consommateurs en cette période de Noël et sans chiffre d’affaires, ils ne pourront pas les payer. Mis en péril, ils devront fermer leur boutique et licencier leur personnel.
Nous avons besoin d’ouvrir pour commercer. Nous avons aussi besoin de visibilité pour nous organiser. Nous vous demandons une réouverture pour tous, dès le 27 novembre. Autoriser les Français à disposer d’un week-end de plus pour réaliser leurs achats de Noël permettra de diluer les flux à l’approche des fêtes de fin d’année et de sauver une partie de l’activité commerciale. Cette date du 27 novembre n’est pas qu’un symbole: elle est impérative. Ouvrir, ou nous faire mourir, voilà de quoi il en retourne. Voilà l’objet de la campagne digitale que nous lançons..."
Pour rendre cette réouverture possible, le CDCF et ses fédérations sont prêts à améliorer encore leurs protocoles sanitaires notamment en réduisant la capacité d’accueil en magasin. Et ce alors même qu’aucun cluster n’a pu être constaté dans les commerces depuis le déconfinement. Le CDCF rappelle en outre l’engagement sans faille des commerçants depuis le premier confinement pour faire respecter les règles, pour faire reculer la pandémie et accompagner les priorités de santé publique.
Le CDCF écrit notamment dans sa lettre à M. Macron:
"Nous ne comprenons pas, nous ne comprenons plus la décision que vous avez prise. En revanche, vous devez comprendre, Monsieur le Président que sans une réouverture des commerces c’est la mort certaine de nos commerçants. Ils ont des stocks considérables pour répondre aux besoins des consommateurs en cette période de Noël et sans chiffre d’affaires, ils ne pourront pas les payer. Mis en péril, ils devront fermer leur boutique et licencier leur personnel.
Nous avons besoin d’ouvrir pour commercer. Nous avons aussi besoin de visibilité pour nous organiser. Nous vous demandons une réouverture pour tous, dès le 27 novembre. Autoriser les Français à disposer d’un week-end de plus pour réaliser leurs achats de Noël permettra de diluer les flux à l’approche des fêtes de fin d’année et de sauver une partie de l’activité commerciale. Cette date du 27 novembre n’est pas qu’un symbole: elle est impérative. Ouvrir, ou nous faire mourir, voilà de quoi il en retourne. Voilà l’objet de la campagne digitale que nous lançons..."