
Exposition
du 5 décembre 2025 au 8 mars 2026
Église des Jacobins – Agen
Le musée des Beaux-Arts d’Agen présente sa nouvelle exposition Lumières françaises. De la cour de Versailles à Agen du 5 décembre 2025 au 8 mars 2026.
Cette exposition exceptionnelle, qui a reçu le label “Exposition d’intérêt national”, invitera les visiteurs à plonger dans l’art et l’histoire d’une époque florissante, marquée par des oeuvres d’artistes renommés et des objets de prestige.
L’exposition vise à valoriser les bouleversements et l’art de vivre de cette période déterminante dans l’histoire de France, à l’aune du cas d’Agen et de l’Agenais ; elle entend souligner les conditions de l’essor économique, politique et intellectuel de la ville et de son territoire, lui permettant de tenir une place entre Bordeaux et Toulouse, en lien avec Paris et l’étranger.
L’accélération de ce renouveau est suscitée par le rôle moteur du duc d’Aiguillon, ministre des Affaires étrangères du roi Louis XV, exilé sur sa terre en 1775.
Cet éloignement de la cour, qui rappelle celui de son rival le duc de Choiseul au château de Chanteloup (Indre-et-Loire) quelques années plus tôt, s’explique par son amitié avec la marquise de Pompadour, puis avec la comtesse Du Barry, favorites du roi Louis XV.
Le mécénat du duc d’Aiguillon, qui procède d’une tradition familiale remontant aux cardinaux de Richelieu et Mazarin, s’inscrit dans une dynamique et une émulation, incarnées par les figures de Madame Du Barry et du duc de Choiseul. Ces personnalités de premier plan jouent un rôle dans le basculement vers une nouvelle esthétique, du goût rocaille au style à la grecque, de François Boucher (1703-1770) et de Jean-Honoré Fragonard (1732-1806) à Joseph-Marie Vien (1716-1809).
du 5 décembre 2025 au 8 mars 2026
Église des Jacobins – Agen
Le musée des Beaux-Arts d’Agen présente sa nouvelle exposition Lumières françaises. De la cour de Versailles à Agen du 5 décembre 2025 au 8 mars 2026.
Cette exposition exceptionnelle, qui a reçu le label “Exposition d’intérêt national”, invitera les visiteurs à plonger dans l’art et l’histoire d’une époque florissante, marquée par des oeuvres d’artistes renommés et des objets de prestige.
L’exposition vise à valoriser les bouleversements et l’art de vivre de cette période déterminante dans l’histoire de France, à l’aune du cas d’Agen et de l’Agenais ; elle entend souligner les conditions de l’essor économique, politique et intellectuel de la ville et de son territoire, lui permettant de tenir une place entre Bordeaux et Toulouse, en lien avec Paris et l’étranger.
L’accélération de ce renouveau est suscitée par le rôle moteur du duc d’Aiguillon, ministre des Affaires étrangères du roi Louis XV, exilé sur sa terre en 1775.
Cet éloignement de la cour, qui rappelle celui de son rival le duc de Choiseul au château de Chanteloup (Indre-et-Loire) quelques années plus tôt, s’explique par son amitié avec la marquise de Pompadour, puis avec la comtesse Du Barry, favorites du roi Louis XV.
Le mécénat du duc d’Aiguillon, qui procède d’une tradition familiale remontant aux cardinaux de Richelieu et Mazarin, s’inscrit dans une dynamique et une émulation, incarnées par les figures de Madame Du Barry et du duc de Choiseul. Ces personnalités de premier plan jouent un rôle dans le basculement vers une nouvelle esthétique, du goût rocaille au style à la grecque, de François Boucher (1703-1770) et de Jean-Honoré Fragonard (1732-1806) à Joseph-Marie Vien (1716-1809).